« Négocier avec un gun sur la tempe. » L’expression se retrouve un peu partout alors que les employés municipaux du Québec voient les villes se faire octroyer le droit d’imposer leurs conditions de travail après avoir négocier de bonne foi. Bernard Sévigny, maire de Sherbrooke, répond : « En 2011, après 6 semaines de grève, je me demande : qui avait le gun sur la tempe ? »
Dans la première partie de cette entrevue :
- Négocier « de bonne foi » : qui décide de la bonne foi ?;
- Objectif : réduire les écarts de salaire avec le provincial ?
- Et les coupures gouvernementales dans les municipalités ?
Aussi dans cette entrevue :
- Retour sur le plan de gestion des matière résiduelles 2015-2020;
- Le terminal de l’aéroport de Sherbrooke nommé en l’honneur de Gilbert Boulanger, ancien pilote de l’armée canadienne.
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